Frontières extérieures

Frontières extérieures

Il existe des bâtiments et des lieux qui ne se trouvent pas dans l’enceinte des frontières du village, mais qui restent tout aussi important pour le fonctionnement du village.

Les palissades d’Alavir sont en permanence détruites puis reconstruites à la va-vite afin d’endiguer la prochaine invasion. Ces remparts de fortune sont le plus souvent constitués de rangées de pieux profondément plantés dans le sol et s’élevant à 3 ou 4 mètres de hauteur. Par endroits, ils ont été renforcés par d’autres rangées de structures en bois, mais les attaques à Alavir sont trop nombreuses pour qu’elles tiennent suffisamment longtemps.

[référent: Sakyll]

A deux kilomètres d’Alavir, la Tour du Fou, une vieille tour en ruines, sert à la fois de sentinelle et de phare.

Le cimetière se situe à l’extérieur de la ville, à la lisière du Bois-Soleil, sur les vestiges d’une nécropole oubliée. On y pénètre par un portail de fer noir, dont les gonds usés murmurent avec le vent. Entre les stèles fraîchement gravées, couvertes de bouquets de fleurs des champs, se dressent encore quelques tombeaux séculaires.

A l’extrémité sud du village, des écuries ont été bâties au bord de la rivière Aniari. Plusieurs abreuvoirs y sont mis à disposition par le maréchal-ferrant qui y vit. Un enclos de fortune délimite les bordures d’un large pré où les chevaux se promènent en liberté.

En amont des écuries, la rivière Aniari serpente à travers d’anciens bains publics, bâtis il y a plusieurs siècles de ça. Le village travaille à réhabiliter ses bassins.